Maitresse d'un homme marié... Chapitre 2
Pourquoi je n'ai pas résisté ? Malgré toutes mes convictions ? J'avais eu beau me dire jamais... mais il ne faut jamais dire jamais... Et puis tu me plaisais trop !
Je suis finalement partie complètement abasourdie. A peine arrivée au bureau tu appelais et nous avons continué à parler. Bien sûr RDV le soir, avant que tu ne rentres chez toi. Et bécotages dans la voiture comme des adolescents...
Il nous fallait néanmoins faire attention à ne pas se faire trop voir. Pour des tonnes d'excellentes raisons : bien sûr en premier, ta femme. Mais il y avait peu de risque qu'elle "traine" dans le coin. Elle ne travaillait pas au même endroit. Ton beau-frère, lui par contre, travaillait dans la même société que toi ! Et enfin une de mes collaboratrices avait le beguin pour toi et ne s'en cachait pas. Comme en plus elle était copine avec une secrétaire de ta boite, ça aurait pu faire désordre...
15 ans plus tard... Décembre 08.
Tu pars en déplacement en Belgique. Si ton emploi du temps le permet (pas trop à la bourre pour la préparation du RDV client), je dois te rejoindre. Ca tombe plutôt mal, j'ai la grippe, ou tout au moins un très gros rhume. Mais qu'importe pour passer quelques instants avec toi, et une ou 2 nuits je suis prête à tout.
Je m'organise au niveau de mon boulot pour travailler de chez moi, et donc être plus dispo pour te rejoindre. Je végète dans mon canapé avec mes Kleenex à porter de main, à cause du rhume. Dans l'après-midi tu m'envoies un texto : pas dispo, pas la peine que je vienne... Immense déception de ma part. Cela fait des lustres que nous n'avons pas passé une nuit ensemble. Sans le rhume, je crois que j'aurai pris ma voiture et filé en Belgique, mais là j'étais HS. Ce n'est que partie remise, me dis-tu. Je devrais avoir l'habitude ce n'est pas la première ni la dernière des déceptions de ce type !
Je ne sais même plus si tu fais l' "effort" pour que l'on se voie en décembre. Mais comme toujours, j'ai de tes nouvelles au moins une fois par jour.
Noel approche, et le réveillon du jour de l'an aussi. Pour une fois, je ne déprime pas trop pour cette fin d'année. Je pars une semaine au pays Basque avec ma meilleure amie, sa famille et 2 couples d'amis. Au moins j'aurai l'esprit occupé... Le soir du jour de l'an je guète le texto de bonne année, ou l'appel. Je vais me coucher tard sans aucune nouvelle de toi. Il me faudra attendre la fin de matinée du 1er pour avoir des nouvelles...
Comme tous les ans en janvier, je pars à partir du 15 au ski, sans avoir pu te voir. Toi aussi pour une fois tu vas à la montagne. Pas ta destination préférée, mais demande familiale oblige tu cèdes...
Février approche à grands pas. Pleine d'espoir, je sais que j'arriverai bien à te voir de grès ou de force !
La veille de ma fête, nous discutons (au téléphone bien sûr, faut pas rêver...). Tu m'annonces que le week-end suivant tu as un match de basket. Quand je te demande où à lieu le match, je me fais jeter : "t'es bien la dernière personne à qui je le dirai..." Et tu poursuis ta conversation comme si de rien n'était. Je n'arrive pas à avaler cette couleuvre. Je rentre chez moi en larmes. J'ai un affreux pressentiment : tu as une autre nana en tête (encore) ! J'en suis persuadée.
Je ne dors pas de la nuit. A 5h, je suis levée. J'ai des yeux de lapin russe... Je pars au boulot très tôt. De toute façon, j'ai RDV avec mon boss à 8h30. En arrivant devant le parking de ma société, tu appelles. "Alors ça va?" "Non, je n'ai pas dormi de la nuit." "T'as des soucis ?" Je ment, et prétexte des problèmes boulot. Je n'arrive pas à cracher le morceau. Et là, tu enchaines "Bon, bah alors, lis pas le mail que je t'ai envoyé hier soir. C'est pas le jour !" Impossible de savoir de quoi il s'agit. Je me précipite dans mon bureau, branche le PC, et découvre avec horreur un mail dont l'objet est : "Point de détail"...
Le point de détail est que malheureusement pour moi, j'avais deviné : tu es avec une autre depuis un mois 1/2. Et "tu veux m'en parler. Je dois être la seule à comprendre !! tu sais que cela ne peut pas me faire plaisir, mais je suis la seule avec qui tu puisses discuter de ça !"
Mon boss étant déjà arrivé, et pour ne pas me donner en spectacle, je sors pour hurler. Je me jette sur le téléphone, je t'appelle, et te traite de tous les noms...
Alors quand j'entend certaines femmes dire que celles qui se tapent des hommes mariées sont toutes des salopes... Comment dire...
A bientôt pour la suite !
Je suis finalement partie complètement abasourdie. A peine arrivée au bureau tu appelais et nous avons continué à parler. Bien sûr RDV le soir, avant que tu ne rentres chez toi. Et bécotages dans la voiture comme des adolescents...
Il nous fallait néanmoins faire attention à ne pas se faire trop voir. Pour des tonnes d'excellentes raisons : bien sûr en premier, ta femme. Mais il y avait peu de risque qu'elle "traine" dans le coin. Elle ne travaillait pas au même endroit. Ton beau-frère, lui par contre, travaillait dans la même société que toi ! Et enfin une de mes collaboratrices avait le beguin pour toi et ne s'en cachait pas. Comme en plus elle était copine avec une secrétaire de ta boite, ça aurait pu faire désordre...
15 ans plus tard... Décembre 08.
Tu pars en déplacement en Belgique. Si ton emploi du temps le permet (pas trop à la bourre pour la préparation du RDV client), je dois te rejoindre. Ca tombe plutôt mal, j'ai la grippe, ou tout au moins un très gros rhume. Mais qu'importe pour passer quelques instants avec toi, et une ou 2 nuits je suis prête à tout.
Je m'organise au niveau de mon boulot pour travailler de chez moi, et donc être plus dispo pour te rejoindre. Je végète dans mon canapé avec mes Kleenex à porter de main, à cause du rhume. Dans l'après-midi tu m'envoies un texto : pas dispo, pas la peine que je vienne... Immense déception de ma part. Cela fait des lustres que nous n'avons pas passé une nuit ensemble. Sans le rhume, je crois que j'aurai pris ma voiture et filé en Belgique, mais là j'étais HS. Ce n'est que partie remise, me dis-tu. Je devrais avoir l'habitude ce n'est pas la première ni la dernière des déceptions de ce type !
Je ne sais même plus si tu fais l' "effort" pour que l'on se voie en décembre. Mais comme toujours, j'ai de tes nouvelles au moins une fois par jour.
Noel approche, et le réveillon du jour de l'an aussi. Pour une fois, je ne déprime pas trop pour cette fin d'année. Je pars une semaine au pays Basque avec ma meilleure amie, sa famille et 2 couples d'amis. Au moins j'aurai l'esprit occupé... Le soir du jour de l'an je guète le texto de bonne année, ou l'appel. Je vais me coucher tard sans aucune nouvelle de toi. Il me faudra attendre la fin de matinée du 1er pour avoir des nouvelles...
Comme tous les ans en janvier, je pars à partir du 15 au ski, sans avoir pu te voir. Toi aussi pour une fois tu vas à la montagne. Pas ta destination préférée, mais demande familiale oblige tu cèdes...
Février approche à grands pas. Pleine d'espoir, je sais que j'arriverai bien à te voir de grès ou de force !
La veille de ma fête, nous discutons (au téléphone bien sûr, faut pas rêver...). Tu m'annonces que le week-end suivant tu as un match de basket. Quand je te demande où à lieu le match, je me fais jeter : "t'es bien la dernière personne à qui je le dirai..." Et tu poursuis ta conversation comme si de rien n'était. Je n'arrive pas à avaler cette couleuvre. Je rentre chez moi en larmes. J'ai un affreux pressentiment : tu as une autre nana en tête (encore) ! J'en suis persuadée.
Je ne dors pas de la nuit. A 5h, je suis levée. J'ai des yeux de lapin russe... Je pars au boulot très tôt. De toute façon, j'ai RDV avec mon boss à 8h30. En arrivant devant le parking de ma société, tu appelles. "Alors ça va?" "Non, je n'ai pas dormi de la nuit." "T'as des soucis ?" Je ment, et prétexte des problèmes boulot. Je n'arrive pas à cracher le morceau. Et là, tu enchaines "Bon, bah alors, lis pas le mail que je t'ai envoyé hier soir. C'est pas le jour !" Impossible de savoir de quoi il s'agit. Je me précipite dans mon bureau, branche le PC, et découvre avec horreur un mail dont l'objet est : "Point de détail"...
Le point de détail est que malheureusement pour moi, j'avais deviné : tu es avec une autre depuis un mois 1/2. Et "tu veux m'en parler. Je dois être la seule à comprendre !! tu sais que cela ne peut pas me faire plaisir, mais je suis la seule avec qui tu puisses discuter de ça !"
Mon boss étant déjà arrivé, et pour ne pas me donner en spectacle, je sors pour hurler. Je me jette sur le téléphone, je t'appelle, et te traite de tous les noms...
Alors quand j'entend certaines femmes dire que celles qui se tapent des hommes mariées sont toutes des salopes... Comment dire...
A bientôt pour la suite !