Maitresse d'un homme marié... Chapitre 5
Février 2009...
Jamais, je ne t'ai autant vu ces derniers mois, que depuis février. Tu vas mal, très mal même. Tu ne sais plus du tout où tu en es, ni même ce que tu veux, toi.
Je finis très rapidement par tout savoir ou presque de votre relation. Je te harcèle de questions pour tout connaitre, mais bien souvent tu ne te fais prier. J'ai besoin de comprendre. Même si aujourd'hui je n'ai pas encore de réponses à toutes mes questions. Toute cette histoire me parait surréaliste !
Tout remonte au mois de décembre. Quelques jours après ton séjour en Belgique, où j'avais failli te rejoindre, certains cadres de ton entreprise se retrouvent en séminaire. Tu en fais parti. Après une journée studieuse, tu te retrouves assis pour diner à côté de cette p... (désolée, mais je n'ai aucun autre mot qui me vienne à l'esprit).
Elle est arrivée dans ton entreprise tout récemment. Elle a une cinquante d'années, mais s'habille très court et toujours très mode. Au travail, rien ne l'empêche de s'assoir sur ton bureau quand elle vient te voir ! Attitude normale pour femme aguicheuse, et qui ne recherche qu'une seule chose, se taper des mecs...
Donc après le dîner, et quelques verres, vous finissez en petit groupe dans la piscine de l'hôtel. Un dernier verre dans la chambre d'un collègue. Vous n'êtes plus que 3. En partant se coucher, tu la raccompagnes, et tu passes la nuit avec elle... Quand je tente de me remémorer ce mois de décembre, je me souviens juste que tu étais distant, et jamais trop de temps à m'accorder... Et pour cause... Ton esprit était ailleurs...
J'apprends sans trop de difficulté qu'en fait elle ne semble pas très accro. Elle te mène rapidement par le bout du nez. C'est une experte, elle sait jouer avec les hommes, et plus particulièrement avec toi. Elle te distille très rarement des informations sur sa vie, et fait en sorte de susciter le manque. Souvent à l'exterieur pour son boulot, elle te promet de repasser, puis au dernier moment rentre directement chez elle, et ne te donne aucune nouvelle. Pour calmer le jeu, elle t'adresse un texto dans la soirée, et te propose un café pour le lendemain matin. Bref, avec du recul, je me rends compte qu'elle t'a menée par le bout du nez. Elle a joué avec toi, et certainement que cette relation lui permettait de s'évader de sa vie tristouille...
J'ai le droit à tous les détails de votre relation, sauf les plus intimes. Tu pars à nouveau en déplacement à Bruxelles, et bien sûr elle est aussi conviée professionnellement à ce déplacement. Je ne dors pas les 2 nuits que dure cette escapade. Quelle ne fut ma surprise de recevoir un texto de ta part, pour m'inviter à déjeuner, alors que tu étais encore dans le train retour avec elle !
Ces 2 jours n'avaient pas été à la hauteur de tes attentes. Tu l'as découverte sous son jour le moins flatteur. Elle s'est fait voler son sac dans le hall de l'hôtel. Et là, elle a pété les plombs. Plus de papiers, plus rien, et elle refusait d'appeler son mari en France pour faire opposition à ses cartes de crédits, et elle se donnait en spectacle dans le hall de l'hôtel. Par le plus grand des miracles, son sac fut retrouvé très peu de temps après. Pour couronner le tout, elle refusa de passer une nuit entière avec toi. Bref, elle est retournée dans sa chambre, après que vous vous soyez envoyé en l'air. C'est vraiment très romantique...
Tu m'as rejoins sur mon lieu de travail. Jamais je ne t'avais vu avec une tête pareille. Certes vous aviez fait la fête, et tu n'avais pas beaucoup dormi, mais surtout c'était moralement que tu n'allais pas bien du tout. Limite au bord des larmes. Je tentais de te faire comprendre qu'elle ne correspondait pas à ce que tu attendais d'une femme...
Pendant plusieurs jours, je restais sur le même registre. Finalement nos conversations devenaient plus chaleureuses. Tu viens déjeuner chez moi en mars. Même si ce n'est pas la 1ère fois que je te revois depuis ce fichu jour de février, c'est la 1ère fois qu'il n'y a pas de monde autour de nous. Je me sens à la fois mieux, plus libre, mais aussi moins bien, car te revoir chez moi, c'est douloureux...
Tu m'avoues durant le déjeuner, que tu te rends compte avoir tout raté dans ta vie, et que tu n'es pas heureux. J'ai du mal à te faire admettre que non tu n'as pas tout raté. Tu as de beaux enfants, qui réussissent bien leur vie, qui font, ou ont fait (pour l'ainée) de brillantes études. Tu as un bon job. Reste ta femme ! Et tu ne peux plus envisager de finir ta vie avec elle. Et là je découvre comment tu en es arrivé à te marier avec elle ! Hallucinant au 20ème siècle!!!
Jamais, je ne t'ai autant vu ces derniers mois, que depuis février. Tu vas mal, très mal même. Tu ne sais plus du tout où tu en es, ni même ce que tu veux, toi.
Je finis très rapidement par tout savoir ou presque de votre relation. Je te harcèle de questions pour tout connaitre, mais bien souvent tu ne te fais prier. J'ai besoin de comprendre. Même si aujourd'hui je n'ai pas encore de réponses à toutes mes questions. Toute cette histoire me parait surréaliste !
Tout remonte au mois de décembre. Quelques jours après ton séjour en Belgique, où j'avais failli te rejoindre, certains cadres de ton entreprise se retrouvent en séminaire. Tu en fais parti. Après une journée studieuse, tu te retrouves assis pour diner à côté de cette p... (désolée, mais je n'ai aucun autre mot qui me vienne à l'esprit).
Elle est arrivée dans ton entreprise tout récemment. Elle a une cinquante d'années, mais s'habille très court et toujours très mode. Au travail, rien ne l'empêche de s'assoir sur ton bureau quand elle vient te voir ! Attitude normale pour femme aguicheuse, et qui ne recherche qu'une seule chose, se taper des mecs...
Donc après le dîner, et quelques verres, vous finissez en petit groupe dans la piscine de l'hôtel. Un dernier verre dans la chambre d'un collègue. Vous n'êtes plus que 3. En partant se coucher, tu la raccompagnes, et tu passes la nuit avec elle... Quand je tente de me remémorer ce mois de décembre, je me souviens juste que tu étais distant, et jamais trop de temps à m'accorder... Et pour cause... Ton esprit était ailleurs...
J'apprends sans trop de difficulté qu'en fait elle ne semble pas très accro. Elle te mène rapidement par le bout du nez. C'est une experte, elle sait jouer avec les hommes, et plus particulièrement avec toi. Elle te distille très rarement des informations sur sa vie, et fait en sorte de susciter le manque. Souvent à l'exterieur pour son boulot, elle te promet de repasser, puis au dernier moment rentre directement chez elle, et ne te donne aucune nouvelle. Pour calmer le jeu, elle t'adresse un texto dans la soirée, et te propose un café pour le lendemain matin. Bref, avec du recul, je me rends compte qu'elle t'a menée par le bout du nez. Elle a joué avec toi, et certainement que cette relation lui permettait de s'évader de sa vie tristouille...
J'ai le droit à tous les détails de votre relation, sauf les plus intimes. Tu pars à nouveau en déplacement à Bruxelles, et bien sûr elle est aussi conviée professionnellement à ce déplacement. Je ne dors pas les 2 nuits que dure cette escapade. Quelle ne fut ma surprise de recevoir un texto de ta part, pour m'inviter à déjeuner, alors que tu étais encore dans le train retour avec elle !
Ces 2 jours n'avaient pas été à la hauteur de tes attentes. Tu l'as découverte sous son jour le moins flatteur. Elle s'est fait voler son sac dans le hall de l'hôtel. Et là, elle a pété les plombs. Plus de papiers, plus rien, et elle refusait d'appeler son mari en France pour faire opposition à ses cartes de crédits, et elle se donnait en spectacle dans le hall de l'hôtel. Par le plus grand des miracles, son sac fut retrouvé très peu de temps après. Pour couronner le tout, elle refusa de passer une nuit entière avec toi. Bref, elle est retournée dans sa chambre, après que vous vous soyez envoyé en l'air. C'est vraiment très romantique...
Tu m'as rejoins sur mon lieu de travail. Jamais je ne t'avais vu avec une tête pareille. Certes vous aviez fait la fête, et tu n'avais pas beaucoup dormi, mais surtout c'était moralement que tu n'allais pas bien du tout. Limite au bord des larmes. Je tentais de te faire comprendre qu'elle ne correspondait pas à ce que tu attendais d'une femme...
Pendant plusieurs jours, je restais sur le même registre. Finalement nos conversations devenaient plus chaleureuses. Tu viens déjeuner chez moi en mars. Même si ce n'est pas la 1ère fois que je te revois depuis ce fichu jour de février, c'est la 1ère fois qu'il n'y a pas de monde autour de nous. Je me sens à la fois mieux, plus libre, mais aussi moins bien, car te revoir chez moi, c'est douloureux...
Tu m'avoues durant le déjeuner, que tu te rends compte avoir tout raté dans ta vie, et que tu n'es pas heureux. J'ai du mal à te faire admettre que non tu n'as pas tout raté. Tu as de beaux enfants, qui réussissent bien leur vie, qui font, ou ont fait (pour l'ainée) de brillantes études. Tu as un bon job. Reste ta femme ! Et tu ne peux plus envisager de finir ta vie avec elle. Et là je découvre comment tu en es arrivé à te marier avec elle ! Hallucinant au 20ème siècle!!!